Théorie Déposée in Yasni Exposé of Florence Crivello

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Florence Crivello, chercheur

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Florence Crivello

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Florence Crivello
June 13  +

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Langage génétique

Le langage génétique Théorie déposée à l’Académie des Sciences, à Paris, sous pli cacheté n°17 958 D’intenses activités de recherches concernant le patrimoine génétique, se poursuivent actuellement. En ce début de troisième millénaire, elles permettent notamment de "formaliser" (de représenter) les structurations spatiales des molécules constituant l’ADN, et de "commencer à connaître" l’impact de ces molécules sur le développement et le comportement des individus. Mais alors, qu’en est-il du langage génétique proprement dit, de sa mémorisation et de ses vecteurs primordiaux ? Par bonheur, les récentes avancées en technologie informatique jettent un nouvel éclairage sur cette problématique. Nous savons ainsi que l’on peut numériser (et mémoriser) des informations et des interprétations de perceptions, donc du "sens", et les transmettre par le biais d’ondes électromagnétiques. En conséquence, sachant, - qu’il n’y a pas de contact physique absolu entre les états de la matière puisque les particules, les atomes et les molécules qui la constituent, sont séparés par le vide quantique, - que des ondes électromagnétiques sont inexorablement associées à chaque constituant de la matière, - que les directives génétiques à effets biologiques, ne sont pas altérées par la traversée des synapses, eux-mêmes formés de molécules (fait particulier et condition suffisante), nous pouvons affirmer que des ondes électromagnétiques sont les vecteurs primordiaux du sens, car ce sont les seules entités capables de traverser tous les "vides". Le langage génétique relève donc non seulement de l’interprétation des fréquences et des amplitudes de telles ondes, mais surtout de l’interprétation des interférences de celles-ci, interférences qui sont fonction de positions spatiales et de nano distances, à l’instar du langage humain qui nécessite l’interprétation de la position des lettres dans le mot, des mots dans la phrase et des phrases dans le discours. Dès lors, nous comprenons mieux, et l’extrême richesse de ce langage bien qu’il n’ait comme "lettres de base" que quatre molécules azotées : Adénine, Cytosine, Guanine et Thymine, et hélas, l’impossibilité de connaître, en clair, les informations et les directives qu’il permet de transmettre. Néanmoins, ces faits essentiels montrent, à l’évidence, que les molécules qui sont médicalement actives, le sont, en premier lieu, en raison des informations et des organisations de processus qu’elles permettent de mémoriser et de diffuser par le moyen d’ondes électromagnétiques spécifiques. En outre, sachant qu’il est désormais possible d’enregistrer certains flux d’interférences de ces ondes, il n’est pas déraisonnable de croire que de tels enregistrements trouveront très prochainement des applications en médecine. Paul Moyne http://www.paulmoyne.com
Florence Crivello
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yasni 2011-11-28  +  

Relativité et neutrinos

Relativité et neutrinos Théorie déposée à l’Académie des Sciences, à Paris, sous pli cacheté n° 17 990 A ceux qui croient que l’on peut comprendre le monde uniquement par le moyen de formulations physico-chimico-mathématiques, et qui s’en remettent au bon vouloir de lois et de principes, voire au hasard. ******************* H. A. Lorentz (1853 – 1928), probablement le premier, établit quelques équations mathématiques à propos de la perception de phénomènes liés à des "systèmes" de référence se déplaçant à des vitesses différentes ; plus précisément, il s’agissait de relations entre les rayons lumineux (les photons) émis par un "objet" et leurs perceptions et interprétations par un observateur en mouvement par rapport à cet objet ; pour l’essentiel, ces relations se résument à trois formules : deux équations de transformation et un(le) coefficient de relativité où, t représente les temps (les durées), v et c caractérisent les vitesses, notamment c (299.792,458 km/s) qui, constante dans le vide, est reconnue comme la plus grande vitesse possible. Après avoir admis ces équations, A. Einstein (1879 – 1955) en tira la quintessence, postulant que "l’énergie E d’un point matériel de masse m n’est pas donnée par : mv²/2 , mais par mc²/(1 - v²/c²)½ , ou, lorsque cette expression est développée en série, par : mc² + mv²/2 + m(3/8)(v²/c)² + ..., (postulat de la relativité restreinte énoncé en1905). Le troisième terme de la série et ceux qui suivent étant très petits, et pouvant être négligés, il demeurait donc : - mc² représentant l’énergie intrinsèque d’un corps de masse m, puisque ce terme est constant (indépendant de la vitesse v), - mv²/2, équation de l’énergie cinétique utilisée en mécanique classique. H. Poincaré (1854 - 1912), le plus éminent mathématicien de cette époque, pressentait lui-aussi, un relationnel intime entre l’énergie et la matière, néanmoins il n’eut pas l’"audace" d’Einstein. Par la suite, en 1915 Einstein émit la théorie de la relativité générale qui est une théorie relativiste de la gravitation permettant de comprendre l'influence de la matière (des masses) sur les mouvements cosmiques, notamment sur les trajectoires des photons qui ont certes une masse très faible mais suffisante pour être déviés par les corps célestes. De nos jours, les équations de la relativité, sans cesse plus ésotériques, sont réservées aux esprits initiés ! * Depuis Einstein, le temps est associé à l’espace par la notion d’espace-temps, comme si l’espace et le temps étaient de même nature (de même ordre), voire comme si l’espace-temps était un opérateur qui régit les comportements cosmiques. Or le temps est une potentialité universelle qui n’a de réalité qu’après avoir été actualisée sous le couvert de durées, ces intervalles mystérieux qui ne sont pas de l’espace. Outre cette précision à propos de la notion d’espace-temps, qu’avions-nous retenu et publié ? : - ces équations concernent les comportements de systèmes vectoriels car les supports des valeurs que sont les vitesses, les longueurs et les durées, sont des vecteurs, ce qui "relativise cette relativité", - l’énergie est liée à la masse de manière univoque (E = mc²), alors que selon l’interprétation de nombre d’observations cosmiques, il existe dans l’univers, de la matière qui redevient énergie, voire, qui retrouve son état primordial, intemporel et sans dimensions, d’Energie Universelle, ce qui, entre autres, permet de régénérer le monde en permanence, un fait que nous avons spécifié par la formule réversible : E ↔ mc². Et voila que le 23 septembre 2011, des Chercheurs à l’Institut de physique nucléaire de Lyon, annoncent que les neutrinos, ces entités d’énergie matérialisée les moins massifiées observées par l’homme, ont une vitesse supérieure à celle de la lumière (à celle des photons). Certes les mesures corrélatives doivent être confirmées par d’autres physiciens, néanmoins nous les considérons déjà comme crédibles. D’ailleurs, il ne s’agit pas d’une révolution scientifique comme le laissent entendre les médias, voire, les commentaires de certains physiciens. En effet, dans l’équation de la relativité restreinte, la vitesse de la lumière est représentée par une simple lettre : c ; que les neutrinos aillent plus vite que les photons et puisqu’ils sont aussi vecteurs d’informations, ne change donc rien aux logiques de raisonnement et à leur aboutissement : E ↔ mc², plus précisément, ne change rien au fait essentiel : l’énergie peut devenir matière et la matière retrouver l’état d’énergie. De plus, si nos organes sensoriels étaient conçus pour percevoir les neutrinos, nous "entendrions" le monde sous l’éclairage neutrinonique, au lieu de le voir sous l’éclairage photonique ! Par contre, cette découverte conduit à s’interroger davantage à propos de la massification de l’énergie universelle car elle permet désormais d’affirmer avec plus de certitude, que dès qu’il y a formation d’une entité massique, même extrêmement élémentaire comme les neutrinos, sa vitesse limite dépend de son degré de massification. Inexorablement aussi, dès qu’il y a formation d’une entité massique, des relationnels, des contraintes, des spécificités, des polarisations, des références de valeur et des réactivités apparaissent et se diversifient en fonction du niveau de complexité de la matière ; citons ainsi : - les relationnels comme les forces : nucléaire forte, nucléaire faible, électromagnétique, de gravitation, - les contraintes universelles, notamment celle selon laquelle les électrons associés à un atome doivent avoir, chacun, un état quantique distinct des autres (principe de Pauli ), - les polarisations, électrique et magnétique, qui permettent l’omniprésence dans le réel, d‘ondes électromagnétiques vecteurs primordiaux du sens, vecteurs primordiaux car ces ondes sont les seules qui peuvent traverser tous les vides, en particulier le vide quantique, - les spécificités exprimées par les physiciens, en particulier les couleurs : rouge, bleu et vert, reconnues aux quarks, ces couleurs étant cependant des qualificatifs purement symboliques car les quarks ne peuvent être observés seuls, - les références de valeur, notamment celles que nous qualifions de grandeurs physiques et que nous quantifions (masse, longueur, …, durées, …, vitesse …) : à ce propos, pourquoi avons-nous conscience de valeurs morales qui ne sont pas d’ordre physique (de nature physique) ?, - les réactivités rarement évoquées dans les discours métascientifiques (métaphysiques disait Aristote), qui permettent les complexifications des états du réel et leurs interactions, complexifications qui ont cependant des limites comme l’attestent les incessants bouleversements cosmiques et le phénomène de la vie. En outre, ces réactivités, bien connues des scientifiques, en particulier des chimistes, révèlent les états spécifiques de l’énergie : cinétique, thermique, électrique, magnétique, …, qui sont différents de l’état intemporel et sans dimensions qui caractérise l’énergie universelle. Fait également remarquable, les relationnels, les contraintes, les spécificités, les polarisations, les repères de valeur et les réactivités, inhérents à l’état massique, existent de tout temps car l’univers est éternel. Il est éternel ne serait-ce que parce que notre véritable vie qui est une vie spirituelle, se déroule dans le domaine intemporel de l’abstraction puisqu’y cohabitent le passé, le moment présent sans durée, et le futur, et s’il y a intemporalité en nous, il y a, ipso facto, intemporalité dans l’univers ; évidemment; les vocables "éternel" (autrement dit : temps infiniment long) et "intemporel" (c'est-à-dire : hors du temps), ne sont conciliables que si nous les considérons comme les deux facettes d’un "état d’être sans chronologies". Gardons-nous dès lors du soi-disant Big Bang ; comme nous le disions précédemment, en des cycles éternels, il y a toujours eu d’incommensurables pans de l’univers qui sont objets, soit de matérialisation de l’énergie, soit de retours de la matière à l’état d’énergie, donnant lieu à de gigantesques bangs ! Demeure la problématique posée par Leibniz (1646, 1716) : pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?! Nous saisissons ainsi, combien l’association du temps à l’espace par Einstein, avec sa notion d’espace-temps, affecte l’interprétation de nos perceptions du monde, et combien la compréhension du temps conditionne les réponses apportées par les scientifiques, les philosophes et les théologiens, aux interrogations essentielles. Si par exemple, le temps est reconnu comme une entité qui s’écoule après avoir eu un commencement, nous admettons volontiers que l’on puisse chercher l’origine du monde et exprimer sa dynamique par des théories scientifiques et des équations, au prix de coûteuses recherches. En revanche, s’il y a de l’intemporalité dans le monde et si le temps est un moyen potentiel universel et éternel qui, après actualisations sous le couvert de durées, permet d’inscrire les évolutions dans des chronologies, comme nous l’avons précédemment affirmé, non seulement l’interprétation de nombreuses découvertes doit être reconsidérée, mais aussi l’utilité de beaucoup de projets scientifiques, en particulier lorsqu’ils concernent la physique des particules et l’exploration cosmique, doit être réévaluée. Mais au fait, qui quantifie, qui interprète,… ?, car évidemment le cerveau n’est qu’un moyen biologique qui "permet" de reconnaître, de juger, …, de prendre en compte des repères de valeur, de reconsidérer, de réévaluer,… N’est-ce point l’entité créatrice qui conduisant l’univers, se reconnaît en nous sous le couvert du je (moi, ego, sujet, esprit) ? Paul Moyne http://www.paulmoyne.com
Florence Crivello
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yasni 2011-11-28  +  

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